Jeudi 2 octobre 2014, avec l’association Design en Recherche (nouveau site ici !), nous avons organisé notre première journée d’étude intitulée « Faut-il rédiger les méthodes de la recherche en design ? ». Pour en savoir plus sur cette première initiative publique du réseau, voici le programme de la journée.
A l’ordre de jour une introduction faite par Marine Royer et Robin de Mourat, deux tables rondes – modéréespar Anne-Lyse Renon et Ioana Ocnarescu et un workshop animé par Alain Findeli. Les invités des deux tables rondes sont tous membres du réseau : Camille Bosqué, Estelle Berger, Anthony Masure pour la table 1 sur la question du design de modèles et des modèles de pensée et Caroline Bougourd, Pathum Billa-Deroussy, Maxime Mollon pour la table 2 sur les méthodes de design et les méthodes de recherche en design.
Quelques idées à chaud, issues de la journée :
- dans la recherche en design il s’agit de bien gérer les connexions interdisciplinaires ;
- d’autres disciplines peuvent bénéficier du design et de ces recherches comme vecteurs de valorisation (par ex. les Digital Humanities) ;
- grand intérêt de discussion sur la publication et sur d’autres façons de repenser la publication ;
- un débat sur les liaisons entre forme et fond, sur la création de connaissances scientifiques et l’importance de la « forme » de nos travaux de recherche, qui n’est pas simplement une question de style mais qui interroge la recherche en design de façon épistémologique;
- une question sur les publics et sur les délivrables de la recherche en design (d’ailleurs, est-ce que la notion dedélivrables fait sens ?).
- pour répondre à la question de spécificité de la recherche en design vis-à-vis d’autres disciplines, il apparaît que c’est la capacité du chercheur en design à mettre en action ses travaux dans le cadre d’un projet(notamment, se mettre en situation de faire avec les autres acteurs de l’écosystème).
Plus d’informations sur la journée ? Des photos ici ! Un compte rendu Storify ici !